La manifestation des étudiants de la Sorbonne- Le 3 mai 1968

Le 3 mai 1968, les étudiant de la Sorbonne se réunit dans la cour de l’Universite pour faire une réunion, sans aucune préoccupation de causer des émeutes. Mais les étudiants d’occident droites les ont provoques brutalement par une confrontation qu’ils n’étaient pas prépares pour défendre parce qu’ils pensent a n’importe moment ils peuvent être attaquer par les étudiants de droite. Alors la police a intervenue et beaucoup de gens ont été arrête et Jacques Sauvageot, le dirigeant du principal syndicat étudiant était parmi eux.

             Les étudiants se croyaient protéger par les statues d’étudiants ont été très fâché par l’intervention brutale de la police. Alors, ils  commencent  tout de suite à organiser des manifestations et des barricades.  Beaucoup de gens ont supporte le mouvement des étudiants tels que Alain Geismar qui était le syndicat des enseignants du supérieur.  Quelques membres de gauches et des organisations communistes pensent que ces émeutes ont été organise par des ouvriers et non pas des étudiants.

            Alors que les étudiants étaient en train d’organise des barricades ils étaient surprises par la police et ils y avaient beaucoup de victimes. Alors le peuple et les gens du syndicat ont supporte les étudiants et le lendemain ils y avaient beaucoup de gens qui se manifeste dans la rue et la police n’avait pas assez d’aide pour intervenir. Alors ces manifestations continuaient jusqu’au date des élections qui étaient en Juin de la même année.

            Et lorsque la partie du gauche a gagne les élections, les manifestations cessent complètement.

 

Les manifestants de Mai 68

              Les manifestants de Mai 68

Affiches et graffiti

Un bon clip qui montre plusierus affiches de mai 68 et beaucoup de photos de graffiti et de la violence à Paris. Notez- quand l’écran devient noir, les photos sont fini mais le clip roule encore pour permettre finir la chanson.

Resume

10 Mai 1968- La Nuit des Barricades

3 Mai 1968- A la Sorbonne

greve sud aviation

Grève à Sud-Aviation 14 mai -14 juin

La grève du sud-aviation est connue l’aubépine de mai. Premièrement, les ouvriers de Renault occupent les usines de Boulogne Billancourt et de Flins. En dedans des usines, les meetings se tiennent  avec  des délégués syndicaux. Les étudiants voulaient établir une réunion avec les ouvriers, mais l’usine restera fermée et les occupants voulaient éviter de créer une occasion à l’intervention des forces de police. En février après l’annoncement de la réduction d’horaires sans compensation intégrale de salaire, des débrayages prennent la forme des défiles dans les ateliers.  Le 30 avril, les bureaux et les restaurants de l’aérogare proche ou déjeunent directeur et cadres sont brièvement investis. Le 13 mai les bureaux sont envahis et l’occupation s’installe de facto. Le 14 mai, les hommes rassembles en une communauté de combat ont abandonne leur monde prive, le foyer familial, pour un lieu public et professionnel.   Le 11 juin la direction organise une vote pour la reprise du travail a la mairie de Bouguenais

11 juin 1968, les deux morts

Vers juin 1968, l’animosité avait augmenté chez les ouvriers de Peugeot de Sochaux depuis quelques semaines. Après les révoltes aux autres usines et entreprises comme Renault et Sud Avion et leur succès, les ouvriers chez Peugeot ont décidé de faire grève aussi en commençant au 8 juin. Avec les revendications comme les autres aux usines à ce temps-là, les ouvriers voudraient combattre l’oppression de l’administration et augmenter leurs salaires. Mais, cette grève a arrêté la production des automobiles qui était une grande partie de l’économie française donc le chef de l’usine a appelé aux CRS le 11 juin pour disperser la révolte. Deux personnes sont mortes à cause de la lutte entre les CRS et els ouvriers. Pierre Beylot, qui avait 24 ans, est mort d’une balle d’un CRS et Henri Blanchet, qui avait 49 ans, a chuté d’un mur et est mort. Aujourd’hui, il y a une plaque chez Peugeot pour les souvenir, « A la mémoire de Piettre Beylot et Henri Blanchet, tombé pour le libre exercice du droit de grève. »

resume

3 mai 1968 LA RÉVOLUTION DE MAI
A LA SORBONNE: “L’INCENDIE DU REICHSTAG”

6 Juin 1968 Assassination du Senateur Robert Kennedy

Le 9 mars 1968 mouvement des etudiants au Japon en 1968

Le 6 mai et les manifestations dans le Quartier latin

Les emeutes du 6 mai, qui s’est passe jusqu’au 13 mai (qui s’appallaient « La Semaine des Barricades ») etaient quelques des plus grandes de mai 68. Celles de mai 6 sont entrees en eruption a cause des fermetures de l’Universite de Nanterre et de la Sorbonne. Quand les protestations et les barrages devant ces universities est devenues trop, les policiers ont decide de fermer ces batiments et de amener des etudiants responsables avec eux. Donc, le 6 mai, plus de 45.000 manifestants se sont groupes dans le Quartier latin pour protester contre le systeme d’enseignement, les policiers, et leurs amis arretes. Il y avait plus de quatre cent arrestations et six cent personnes blessees. Mais, apres tout, a la fin de la Semaine des Barricades, la Sorbonne a ete rouverte et les camarades arretes etaient libres.

http://www.ouest-france.fr/dossiers/Mai-68-videos.php?idCla=36804&idDoc=613542 source primaire (video)

http://www.parisenimages.fr/fr/popup-photo.html?photo=167-14 source primaire (image)

http://www.dailymotion.com/video/x4vfhv_1er-mai-68-chronologie_news source primaire (video)

http://www.parismatch.com/var/parismatch/storage/images/diaporama/societe/mai-68-reconnaissez-vous/l-extreme-gauche-est-dans-la-rue/252008-1-fre-FR/l_extreme_gauche_est_dans_la_rue_diapo_681_462.jpg source primaire

http://www.mai-68.fr/dossiers/dossiers.php?val=20_chronologie/ source secondaire

http://liege.indymedia.org/news/2008/03/19953.php source secondaire

http://info.france2.fr/dossiers/france/41587668-fr.php source secondaire

Une résumé

– le 28 décembre 1967: la loi Neuwirth légalise la contraception en France

– le 14 mai 1968: Les ateliers populaires et les artistes anonymes

– le 27 mai 1968: La voix des étudiants espagnols est publié dans un journal

Le theatre Odeon

Le 15 mai, des étudiants et des gens de théâtre ont envahi le théâtre d’Odéon en Paris à l’impulsion de Jean-Jacques Lebel, initiateur des happenings en France, et avec le soutien d’un directeur a l’Odeon.  L’Odéon était une place pour l’expérimentation avec des différentes formes de théâtre : alors, c’était une bonne place pour une discussion de nouvelles idées du temps.  Une personne qui était là a envoyé une lettre aux professionnels du spectacle aussi bien que les étudiants et les ouvriers qui dit : « un groupe d’artistes et gens de théâtre, d’étudiants et de travailleurs constitue en comite d’action révolutionnaire ont occupé cette nuit, après la représentation du Théâtre des Nations, le Théâtre de France-Odéon symbole d’une culture bourgeoise qu’ils contestent fondamentalement au même titre que la société capitalisme. »  Ils ont voulu discuter leur refus de la distribution du spectacle comme les marchandises.  Josette Feral pense que l’occupation d’Odéon est un symbole de la fin d’un théâtre élitiste qui est réservé pour les riches.  On montre que les personnes ne veulent pas le théâtre ancien : ils aiment le théâtre nouveau, comme les idées nouveau, d’expérimentation.  L’évacuation d’Odeon se fera sans douleur le 14 juin, après les coupures de l’électricité et du téléphone le 21^eme et 22^eme de mai.  Après l’occupation, le théâtre avait besoin de reconstruction pour des mois et alors, il a reçoit une position spéciale comme une place d’expérimentation avec les formes de théâtre comme l’art et l’opéra.

La pilule : l’antidate 1968

Entre le 28 décembre 1967, date à la quelle De Gaulle signe et le projet de loi légalisant la contraception en France et le 3 février 1969 jour où les premiers décret d’application de cette loi apparaissent s’écoule l’année 1968. Ces douze mois si féconds en événements sont l’antidate pour la pilule. Le projet de loi à été présenté par Lucien Neuwirth, gaulliste qui a mené une longue carrière politique en tant que député de 1958-1981. Il a défendu sa proposition de loi comme un appel à la société française de faire le choix de faire des enfants en toute ‘lucidité’ et comme un refus de supporter des grossesses involontaires. La loi Neuwirth répond à une loi datant du 31 juillet 1920 écrite après la Grande Guerre (1914-1918) prônant une politique nataliste et qui interdisait 1° la publication et transmission des information concernant la contraception, 2° toute forme de contraception et 3° l’avortement. La loi Neuwirth a suscité de nombreux débats et le député lui-même a été victime d’attaques suite à sa proposition. Malgré l’absence de décret d’application de la loi tout au long de 1968, la légalisation de la contraception et de la pilule en France reste important aux mouvements d’étudiants car l’une des premières actions, le 20 mars, était les hommes qui s’étaient introduits dans les résidences universitaires pour femmes. Et l’un des griefs était les règles qui tentaient de règler les possibilités des rencontres entre les deux sexes dans l’univers universitaire.